Mezar puise dans les musiques afro-orientales, mêlant sons
organiques et claviers analogiques dans une rêverie entre transe
et poésie. Après un premier album salué à Montréal, « Sohan »
(2024) évoque la rencontre d’un Touareg et d’un astronaute. Sur
scène, la rêverie s’incarne, les textures se densifient, la pulsation
s’élève, entre mémoire et voyage cosmique.