Pour son premier long métrage, Leyla Bouzid
dessine le portrait d'une jeune tunisienne, Farah,
âgée de 18 ans, qui chante dans un groupe de
rock branché et contestataire.
Sa passion pour la musique, son caractère
fort et rebelle, sa fougue et sa jeunesse, la
conduisent à se heurter de front, d'abord contre
sa mère et sa famille, ensuite contre une société
ou les vieilles mentalités coincées, archaïques
et réactionnaires, sont toujours largement
dominantes.
Ce récit d'initiation et d'éveil, mais aussi de la
perte des illusions de la jeune femme, Leyla Bouzid le situe quelques mois avant
la « Révolution de la dignité » en décembre 2010...
« Un bourgeon rock dans le printemps arabe. » Le Monde