Des images contemporaines d’Alger, la ville blanche, et de Paris, sont confrontées à la lecture de textes écrits par ceux qui ont opéré, de 1830 à 1848, la sanglante colonisation de l’Algérie qui a mené à la destruction d’une partie de la population, de sa culture et de sa civilisation. Franssou Prenant revient sur une page du roman national français bien hâtivement tournée.